01:27:06 16/04/2010
La hantise.
La hantise du passé, de par son esprit, sa vie, ses illusions, ainsi que des tragédies. Ecorché par de nombreuses lames éthérées, lui entaillant la pensée une par une. Les larmes de sang, invisible à l'oeil nu. Mais lui, il les voyait. Il les voyait clairement. Son passé, sa vie... Ils pleuraient le sang de toutes ces personnes, toute cette destruction... Et lui, pourtant fort physiquement, était faible émotionnellement. Un voile de sévérité, d'autorité, de dureté. Un meneur d'homme de la plus haute trempe, se diront certains. Mais connaissent-ils l'histoire de l'homme derrière le masque? Connaissent-ils ce qu'il a traversé comme épreuves pour en arriver là? Connaissent-ils Malagar, au final?
Mais qui est-il? Maintenant, allons dans les Abysses de l'oubli, de la noirceur, et de la décadence, cherchez dans la bibliothèque des tourments le livre du passé du chevalier, du guerrier, du Cyclone qu'il incarne...
Il pêchait dans un petit étang. L'insouciance enfantine, sans doute. Son esprit était perdu dans des rêveries aussi grandes que la forêt des Abraknydes elle-même. Il n'allait pas à l'école aujourd'hui. Il n'aimait pas ça. Ses copains de classe le ridiculisait sans cesse. C'était un petit Iop au cheveux vermeille, un certain contraste marqué au niveau de la rousseur souvent prêtée à la chevelure légendairement Iopesque des Disciples. Il était loin d'être habile au combat, loin d'être fort en soit, et loin d'être aussi bête que ses camarades Iop. Un trait hérité de sa mère, Mariona, une Fécatte qui travaillait dans les champs comme paysanne, pour approvisionné la boulangerie du petit village. Blé et avoine était envoyé à la fabrique de Hogousse D'Haï, le maître boulanger, connu par tout le monde pour ses petits pains chaud, sa petite voix, et la puissance, inversement proportionnelle au reste, de son haleine. Certains disaient même qu'il pouvait réveillé l'Abraknyde Ancestral, simplement en soufflant dans les narines d'écorces moisies de ce dernier.
Mais le petit se sentait seul. Aucun ami, copine, rien. Il s'enfermait dans son petit monde imaginaire, là où il était fort, grand, et un héros au yeux de tous, défendant avec fierté et acharnement son village des vagues d'ennemis voulant la destruction de ce dernier. Porteur du flambeau d'un peuple, aussi minime soit ce fameux groupe, fendant le vent avec des coups d'épées imparables, précis, et destructeurs. Enfin, il n'était quand même pas si seul que ça : Il y avait son père, Talgar, sa mère, Mariona, et son arrière-grand-père Engor. Une petite maison. Mais il y avait un soucis. L'absence de ses parents. Sa mère était souvent occupée avec le travail dans les champs et la lecture, tandis que son père était souvent à l'écart du village, guerroyant contre les ennemis de Bonta dans de vastes contrées obscures. Il ne restait qu'au final le vieil Enutrof, qui semblait impassible aux assauts du temps. Lui, il s'occupait de Malagar, le petit rêveur. Il le faisait rêvé, et rire, avec ses bêtises, et ses légendes loufoques le mettant en scène, lui et le petit Iop. Du haut de ses huit ans, il regardait son ancêtre qui, contrairement aux autres anciens du village, bouger. Il bougeait encore! Le petit était souvent extasié de voir son arrière-grand-paternel courir, rire, parler, et surtout manier sa pelle dans la clairière en cachette, tandis que les autres ne faisaient que manger, faire leurs besoins, roupiller des dizaines de fois par jour, et compter leurs heures de leur médiocre existence. Cette fougue, cette vigueur. Cela l'inspirait profondément, et le faisant sourire dans les moments difficiles.
Il sentit sa ligne bouger, et commença à lutter pour son équilibre. Il tira sur la canne, et s'accrocha, en tirant de toutes ses forces d'un seul coup. Un goujon. Son premier. Il était fier de lui. Pour une fois qu'il accomplissait quelque chose avec la seule force de son corps, après tout. Il sautilla partout, surexcité. Il prit un petit bocal, le remplit de l'eau mi-opaque de la petite étang, et mit le jeune goujon dedans. Il allait le montrer à son arrière-grand-père, et sa mère également. Et puis, il se souvenu que Talgar devait revenir de la guerre aujourd'hui. Il en frémit. Malagar allait enfin le revoir. Il posa le bocal par terre, et prit son sac d'écolier, duquel il prit sa petite épée en bois que Van Dayhécorse, le gros et gras bûcheron poilu du village de Gaulmes, lui avait gracieusement offert, et gratuitement en plus, à son dernier anniversaire, malgré les protestations acharnées de Mariona. Il courra, l'épée en main, au milieu du champ entourant Gaulmes, et stoppa net. Il donnait des coups dans le vide, et parfois en fauchant de l'herbe haute sur son passage.
- Tremblez, car je suis plus fort, plus courageux que vous tous réunis. Vous ne m'aurez pas, bandes de Bworks! Yaaaaaaaa!
Il faucha tout sur son passage en courant, en poussant des petits cri guerriers, ponctués de quelques rires d'enfant. Et puis, sur son chemin de destruction végétal, il croisa un pauvre arbuste, seul et entouré par les herbes envahissantes. Il leva son épée en l'air, en jurant qu'il allait le sauver de tous ces malfrats. Il frappa et tailla parmi la végétation herbeuse, jusqu'à temps que la très jeune pousse de chêne puisse être libre. Il poussa un cri de victoire, en regardant le ciel. Il se tut, et regarda tout autour de lui. Le soleil se couchait.C'était formel; il devait rentré à la maison et vite. Une maman inquiète est souvent une maman en colère. Et il ne voulait pas qu'elle le sermonne. Il avait dit de sa mère, à Engor, un jour : «Ses sermons sont encore plus long que les discours en classe de l'institu... L'institutra... L'institu-chose.». Il revenu au petit plan d'eau, mit son jouet dans son sac, l'endossa, en prenant soin d'apporter le bocal avec lui, qu'il ferma. Et il gambada rapidement. Quelle journée, tout de même. Il allait pouvoir se venter de ses exploits à son arrière-grand-paternel, et il en allait probablement s'en servir pour une autre de ses légendes rigolotes et épiques. Il avait hâte de revenir à la maisonnette.
Puis, il vu un étranger près de la porte de la maison, qui s'apprêtait à cogner à la porte. Il était affublé d'un costume de milicien, et il avait des cheveux longs noirs, attachés en queue de cheval. Le jeune Malagar alla se poster au pied du militaire, et tira sur la tunique. Le grand monsieur ne réagissait pas. Le minuscule Iop insista en tirant sur la tunique de nouveau. Cette fois-ci, il réagit, et tourna la tête sur le côté. Il semblait chercher quelqu'un. Malagar le dévisageait de ses grands yeux d'enfant curieux. Ronds, et insistants. Le milicien baissa la tête et vu l'enfant. Il avait l'air surpris de le voir.
- B'soir, m'sieur! Z'êtes qui, vous? Et vous voulez quoi, au juste?
- Et bien... J'suis qu'un passant, venu dire bonjour par hasard, mon petit garçon! Allez, zou, files avant que j'm'énerve, répondit-il, sur un ton passablement irrité.
Malagar, avec le bocal en main, tourna les talons, après avoir préalablement tirer la langue au «gros méchant» visiteur. Il alla se cacher derrière un tonneau recueillant l'eau de pluie, tout près de la porte. Le milicien n'y avait pas prêté attention, et donc, le jeune enfant pouvait observer la scène en toute discrétion. Le grand militaire cogna à la porte. Puis, il prit la parole, après avoir saluer son interlocutrice.
- Bonsoir, madame. Je suis le Capitaine Rokse, du 4e détachement du Corps armé Bontarien. C'est à propos de votre mari, Talgar, Lieutenant dans le 12e détachement...
Il fit une pause, et racla la gorge. «Ouais, il parle de papa! Chouette!», dit en chuchotant Malagar, pour lui-même. Cependant, sa courte instant de joie fut interrompu, quand le grand guerrier afficha soudainement un air grave. Il déglutit.
- Sa section rentrait d'une mission d'éclaireur dans les Landes de Sidimote, et ils furent prit dans une embuscade par des Guerriers de Brakmâr... Tout le monde fut tué dans cette attaque. Et cela comprend votre mari... Désolé, madame. Talgar est décédé. La milice envoie ses plus sincères condoléa...
Malagar devint figé, horrifié. Les yeux aussi grand qu'une pomme, il tremblait. Les mots ne parvenaient pas à se glisser dans ses oreilles. Le temps venait de se figer. Puis, il laissa tomber son sac et son bocal par terre. Choc. Fracas. Décès. Ces mots trottaient et repassaient l'un après l'autre dans la tête du jeune Iop. Puis... Il hurla. Il hurla ses émotions, et les larmes se transformèrent vite en rivière d'eau saline. Il se leva, et courra, sans destination, face à lui. Il courra, et courra sans s'arrêter. Son chagrin et la douleur était le moteur qui activait ses petites jambes au travers de sa course effrénée vers le néant. Puis, un ennemi rocailleux lui bloqua le pied, il tomba dans l'herbe, à plat ventre. Il ne bougea plus d'un poce. Les torrents de larmes ne cessaient pas, ils étaient déchainés. Puis, dans un râle de douleur, de souffrance psychologique, il lâcha :
- Papaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! Noooooooooooooon...!
La hantise du passé, de par son esprit, sa vie, ses illusions, ainsi que des tragédies. Ecorché par de nombreuses lames éthérées, lui entaillant la pensée une par une. Les larmes de sang, invisible à l'oeil nu. Mais lui, il les voyait. Il les voyait clairement. Son passé, sa vie... Ils pleuraient le sang de toutes ces personnes, toute cette destruction... Et lui, pourtant fort physiquement, était faible émotionnellement. Un voile de sévérité, d'autorité, de dureté. Un meneur d'homme de la plus haute trempe, se diront certains. Mais connaissent-ils l'histoire de l'homme derrière le masque? Connaissent-ils ce qu'il a traversé comme épreuves pour en arriver là? Connaissent-ils Malagar, au final?
Mais qui est-il? Maintenant, allons dans les Abysses de l'oubli, de la noirceur, et de la décadence, cherchez dans la bibliothèque des tourments le livre du passé du chevalier, du guerrier, du Cyclone qu'il incarne...
Il pêchait dans un petit étang. L'insouciance enfantine, sans doute. Son esprit était perdu dans des rêveries aussi grandes que la forêt des Abraknydes elle-même. Il n'allait pas à l'école aujourd'hui. Il n'aimait pas ça. Ses copains de classe le ridiculisait sans cesse. C'était un petit Iop au cheveux vermeille, un certain contraste marqué au niveau de la rousseur souvent prêtée à la chevelure légendairement Iopesque des Disciples. Il était loin d'être habile au combat, loin d'être fort en soit, et loin d'être aussi bête que ses camarades Iop. Un trait hérité de sa mère, Mariona, une Fécatte qui travaillait dans les champs comme paysanne, pour approvisionné la boulangerie du petit village. Blé et avoine était envoyé à la fabrique de Hogousse D'Haï, le maître boulanger, connu par tout le monde pour ses petits pains chaud, sa petite voix, et la puissance, inversement proportionnelle au reste, de son haleine. Certains disaient même qu'il pouvait réveillé l'Abraknyde Ancestral, simplement en soufflant dans les narines d'écorces moisies de ce dernier.
Mais le petit se sentait seul. Aucun ami, copine, rien. Il s'enfermait dans son petit monde imaginaire, là où il était fort, grand, et un héros au yeux de tous, défendant avec fierté et acharnement son village des vagues d'ennemis voulant la destruction de ce dernier. Porteur du flambeau d'un peuple, aussi minime soit ce fameux groupe, fendant le vent avec des coups d'épées imparables, précis, et destructeurs. Enfin, il n'était quand même pas si seul que ça : Il y avait son père, Talgar, sa mère, Mariona, et son arrière-grand-père Engor. Une petite maison. Mais il y avait un soucis. L'absence de ses parents. Sa mère était souvent occupée avec le travail dans les champs et la lecture, tandis que son père était souvent à l'écart du village, guerroyant contre les ennemis de Bonta dans de vastes contrées obscures. Il ne restait qu'au final le vieil Enutrof, qui semblait impassible aux assauts du temps. Lui, il s'occupait de Malagar, le petit rêveur. Il le faisait rêvé, et rire, avec ses bêtises, et ses légendes loufoques le mettant en scène, lui et le petit Iop. Du haut de ses huit ans, il regardait son ancêtre qui, contrairement aux autres anciens du village, bouger. Il bougeait encore! Le petit était souvent extasié de voir son arrière-grand-paternel courir, rire, parler, et surtout manier sa pelle dans la clairière en cachette, tandis que les autres ne faisaient que manger, faire leurs besoins, roupiller des dizaines de fois par jour, et compter leurs heures de leur médiocre existence. Cette fougue, cette vigueur. Cela l'inspirait profondément, et le faisant sourire dans les moments difficiles.
Il sentit sa ligne bouger, et commença à lutter pour son équilibre. Il tira sur la canne, et s'accrocha, en tirant de toutes ses forces d'un seul coup. Un goujon. Son premier. Il était fier de lui. Pour une fois qu'il accomplissait quelque chose avec la seule force de son corps, après tout. Il sautilla partout, surexcité. Il prit un petit bocal, le remplit de l'eau mi-opaque de la petite étang, et mit le jeune goujon dedans. Il allait le montrer à son arrière-grand-père, et sa mère également. Et puis, il se souvenu que Talgar devait revenir de la guerre aujourd'hui. Il en frémit. Malagar allait enfin le revoir. Il posa le bocal par terre, et prit son sac d'écolier, duquel il prit sa petite épée en bois que Van Dayhécorse, le gros et gras bûcheron poilu du village de Gaulmes, lui avait gracieusement offert, et gratuitement en plus, à son dernier anniversaire, malgré les protestations acharnées de Mariona. Il courra, l'épée en main, au milieu du champ entourant Gaulmes, et stoppa net. Il donnait des coups dans le vide, et parfois en fauchant de l'herbe haute sur son passage.
- Tremblez, car je suis plus fort, plus courageux que vous tous réunis. Vous ne m'aurez pas, bandes de Bworks! Yaaaaaaaa!
Il faucha tout sur son passage en courant, en poussant des petits cri guerriers, ponctués de quelques rires d'enfant. Et puis, sur son chemin de destruction végétal, il croisa un pauvre arbuste, seul et entouré par les herbes envahissantes. Il leva son épée en l'air, en jurant qu'il allait le sauver de tous ces malfrats. Il frappa et tailla parmi la végétation herbeuse, jusqu'à temps que la très jeune pousse de chêne puisse être libre. Il poussa un cri de victoire, en regardant le ciel. Il se tut, et regarda tout autour de lui. Le soleil se couchait.C'était formel; il devait rentré à la maison et vite. Une maman inquiète est souvent une maman en colère. Et il ne voulait pas qu'elle le sermonne. Il avait dit de sa mère, à Engor, un jour : «Ses sermons sont encore plus long que les discours en classe de l'institu... L'institutra... L'institu-chose.». Il revenu au petit plan d'eau, mit son jouet dans son sac, l'endossa, en prenant soin d'apporter le bocal avec lui, qu'il ferma. Et il gambada rapidement. Quelle journée, tout de même. Il allait pouvoir se venter de ses exploits à son arrière-grand-paternel, et il en allait probablement s'en servir pour une autre de ses légendes rigolotes et épiques. Il avait hâte de revenir à la maisonnette.
Puis, il vu un étranger près de la porte de la maison, qui s'apprêtait à cogner à la porte. Il était affublé d'un costume de milicien, et il avait des cheveux longs noirs, attachés en queue de cheval. Le jeune Malagar alla se poster au pied du militaire, et tira sur la tunique. Le grand monsieur ne réagissait pas. Le minuscule Iop insista en tirant sur la tunique de nouveau. Cette fois-ci, il réagit, et tourna la tête sur le côté. Il semblait chercher quelqu'un. Malagar le dévisageait de ses grands yeux d'enfant curieux. Ronds, et insistants. Le milicien baissa la tête et vu l'enfant. Il avait l'air surpris de le voir.
- B'soir, m'sieur! Z'êtes qui, vous? Et vous voulez quoi, au juste?
- Et bien... J'suis qu'un passant, venu dire bonjour par hasard, mon petit garçon! Allez, zou, files avant que j'm'énerve, répondit-il, sur un ton passablement irrité.
Malagar, avec le bocal en main, tourna les talons, après avoir préalablement tirer la langue au «gros méchant» visiteur. Il alla se cacher derrière un tonneau recueillant l'eau de pluie, tout près de la porte. Le milicien n'y avait pas prêté attention, et donc, le jeune enfant pouvait observer la scène en toute discrétion. Le grand militaire cogna à la porte. Puis, il prit la parole, après avoir saluer son interlocutrice.
- Bonsoir, madame. Je suis le Capitaine Rokse, du 4e détachement du Corps armé Bontarien. C'est à propos de votre mari, Talgar, Lieutenant dans le 12e détachement...
Il fit une pause, et racla la gorge. «Ouais, il parle de papa! Chouette!», dit en chuchotant Malagar, pour lui-même. Cependant, sa courte instant de joie fut interrompu, quand le grand guerrier afficha soudainement un air grave. Il déglutit.
- Sa section rentrait d'une mission d'éclaireur dans les Landes de Sidimote, et ils furent prit dans une embuscade par des Guerriers de Brakmâr... Tout le monde fut tué dans cette attaque. Et cela comprend votre mari... Désolé, madame. Talgar est décédé. La milice envoie ses plus sincères condoléa...
Malagar devint figé, horrifié. Les yeux aussi grand qu'une pomme, il tremblait. Les mots ne parvenaient pas à se glisser dans ses oreilles. Le temps venait de se figer. Puis, il laissa tomber son sac et son bocal par terre. Choc. Fracas. Décès. Ces mots trottaient et repassaient l'un après l'autre dans la tête du jeune Iop. Puis... Il hurla. Il hurla ses émotions, et les larmes se transformèrent vite en rivière d'eau saline. Il se leva, et courra, sans destination, face à lui. Il courra, et courra sans s'arrêter. Son chagrin et la douleur était le moteur qui activait ses petites jambes au travers de sa course effrénée vers le néant. Puis, un ennemi rocailleux lui bloqua le pied, il tomba dans l'herbe, à plat ventre. Il ne bougea plus d'un poce. Les torrents de larmes ne cessaient pas, ils étaient déchainés. Puis, dans un râle de douleur, de souffrance psychologique, il lâcha :
- Papaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! Noooooooooooooon...!