03:20:42 07/11/2010
Argent et noirceur, douceur d'une caresse de la brise maritime, soufflant péniblement sur les abords du port de Madrestam. Un silence, entrecoupé par de petites vaguelettes venant s'échouer sur les quais et les vaisseaux, gouvernait en maître dans les lieux, là où tous dormaient paisiblement dans leur demeure. Une fois de temps à autre, un chacha égaré de la couleur de l'obscurité se glissait entre les rues poisseuses de la ville portuaire, à la recherche d'un gros rat juteux à se mettre sous la dent. Ce soir-là, comme à son aise, la bestiole féline flaira une odeur caractérisant la poisse même. Du poisson. C'eut été facile de constater que cette ville, en plein jour, accueillant son lot de grand-pères en déchéance pour la pratique de leur sport quotidien, le seul sport où il était permis de dormir entre temps : La pêche. Cette odeur un peu nauséabonde s'était incrusté fortement dans ses pensées, et le guida, tel un Pandawa enivré, sur le chemin de la relique poisseuse. Des miaulements de gaîté, tout semblait rose pour ce chacha, pensant décidément avoir trouvé de quoi combler sa fringale nocturne. Révélations : Près de quelques tonneaux disposés en bordure de la mer, s'y trouvait quelques sardines brillantes, réfléchissant sans peine la lumière argentée de leur écailles miroirs. Tel un chasseur émérite, le félin se pencha, et s'approcha sans faire de bruits vers ses proies... Tellement facile, il paraissait. Et puis soudain, entre deux tonneaux, un grognement camouflé se fit entendre. Le Chacha se figea net, et regarda de ses grands yeux niais autour de lui. Il n'était qu'à quelques poces d'une victoire vraisemblable sur son appétit vorace. Un grognement plus prononcé, et sinistre, se fit entendre de nouveau, et tout de suite, la bestiole poilue sortit les griffes, fixant les tonneaux.
Un silence, et puis... Un regard, absent de toute caractéristique visuelle s'illumina dans la noirceur. Un gros claquement de mâchoire puissante résonna, laissant sous-entendre au pauvre petit Chacha qu'il était devenu lui-même une proie. Le Chacha recula lentement, en lançant un regard furtif de temps à autre vers le précieux butin. Ce qui se terrait derrière ce voile sinistre de noirceur n'était visiblement pas satisfait, et tout du suite, ce fut un rugissement foudroyant qui parvenu aux oreilles de la bête terrifiée. La vision d'une gueule béante acheva d'apeurer la pauvre bête, et le chacha détalla à toute vitesse. Dans son esprit simplet, plus jamais il n'approchera du port, cela était clair! Toutefois, d'entre les tonneaux, un petit crocodaille se glissa à l'extérieur de sa cachette, en bondissant sur ses grosses pattes arrières. Il bougeait sa queue écaillée à gauche et à droite, accompagnant non pas sans grâce ses petits mouvements de joie. Un claquement de mâchoire, et deux petits ''Gnap'' plus tard, ce fut une silhouette beaucoup plus prononcée qui apparu, se cabrant vers l'arrière pour voir ce qui se passait.
- On dirait que t'as bien défendu nos repas, toi... dit l'énorme silhouette, en riant légèrement.
- Gnaaaap! se contenta de répondre le crocodaille, visiblement joyeux comme pas deux.
- T'es un sacré compagnon, Tirok... Allez, rentrons, j'ai ce que nous avons.
Ce fut sur ces mots que l'homme imposant se leva de terre, ses pieds passant du vide à la pierre érodée, afin de saisir les précieux poissons et de les mettre dans un petit filet. Le petit crocodaille le regarda faire tranquillement, et suivit son maître avec enthousiasme vers une destination commune. La grand gaillard avait l'habitude de tout faire lui-même : s'habiller, cuisiner, exécuter les tâches relatives à la vie quotidienne. Mais qui put deviner que derrière cette stature d'indépendance, se trouvait en fait un vétéran, un homme en ayant mené d'autres plus qu'à son tour, et ce malgré son jeune âge. Il m'était plus tout à fait très jeune, mais il n'était pas très vieux également. Sa 27e année d'existence, tout de même. Qui put deviner que derrière les traits fins que la lune illuminait partiellement étaient si fins, alors qu'il avait mené plus d'un combat, et participer à plusieurs batailles? Les apparences sont toutefois trompeuses, l'ardeur ne faisant pas l'ouvrier. Et encore, c'était d'autant plus bizarre que cet homme, aussi imposant soit-il, est put se tailler une vie normale, après une vie passée dans la nuit. Là où les pensées inconnues le guettait. Mais pour lui, tout était si simple maintenant. Enfin, presque.
Il sentait les ombres le poursuivre dans le noir. Son ombre, comme celles des démons du passé qu'il s'abstenait de dévoiler. L'ombrage de tout ces pertes qu'il avait dû essuyer, de tout ceux qu'il avait vu mourir. Tout ça, alors qu'il était incapable de faire quoi que ce soit. Des amours, il en a vu passé. Trois, quatre relations sérieuses. Tous se finissant d'une façon insoupçonnée, son obsession, son regret si intense fut-il à ses yeux. L'ombre de la folie qui le menaçait à chaque instant. Alors qu'il aurait regardé derrière auparavant, il ne s'en souciait guère maintenant. Tout était derrière lui. Il avait accepté. Enfin. Ce fut un comble, après une si longue période passée dans l'obscurité. A supporter ces fantômes si agaçants les uns que les autres, plus terrifiant, plus sombre... Encore et encore. Il avait brûlé. Jusqu'à finalement être réduit en cendres, et s'être fait dispersé par le vent, afin de ne plus être vu, jamais. Mais tel un phénix, il s'est relevé de ses propres cendres. Changé. Indestructible. Sain. Il arriva à la porte de l'auberge dans laquelle il avait élu domicile. La faible lumière de la chandelle éclairant l'enseigne discrète chassa les ombres peu à peu. Un soupir, un rire... Il poussa la porte. Enfin.
Il salua l'aubergiste au passage, et se dirigea dans la cuisine avec ses sardines brillantes. Il avait insisté à maintes reprises auprès de l'aubergiste pour cuisiner lui-même ses repas. Un peu pour garder son indépendance culinaire. Car hormis être maître de sa cuisine, ainsi que ses actions et de son corps, il était devenu dépendant de ce logis temporaire, du moins, c'est ce qu'il espérait. Et cela, bien sûr, ça ne le ravissait pas. Mais il devait faire avec. Quelques épices, friture, et assaisonnements plus tard, il sortit de la cuisine avec un plat de poisson richement garni. Appétissant pour le faire pratiquement saliver, et rendre son curieux compagnon assez impatient. Mais il commençait à en avoir l'habitude. Tout simplement. Il prit la direction de sa chambre, ouvrit la porte, et y condamna l'accès. Il y avait un lit, une table équipée d'une chaise assez solide pour supporter la masse corporelle de l'homme, ainsi qu'une lampe bien classique. A côté de la table, il y avait un bol propre posé par terre. Probablement la gamelle de ce compagnon atypique qu'était ce Tirok. La salle en elle-même était plutôt petite, mais c'était suffisant pour ses moyens. Il posa l'assiette fumante sur la table, et sépara le tout en deux, avant de vider une moitié dans le bol en faisant bien attention. Ce ne fut pas très long avant que le crocodaille lui fasse encore une démonstration de sa voracité, et aille s'empiffrer. L'homme passa une main dans ses cheveux vermeils, tout en esquissant un petit sourire bienveillant, avant de prendre son assiette pour s'installer sur son lit.
En cherchant dans ses poches pour trouver sa fourchette, il cliqua des yeux, interloqué. Il avait mis sa main sur quelque chose qui n'avait vraisemblablement pas l'air d'un ustensile, du moins, il croyait. En sortant l'objet de sa poche, son demi-sourire disparut d'un seul coup. Un insigne, si familier à ses yeux, remplit de souvenirs. Nostalgie le prit, caressant du bon de ses doigts, lentement, ce qui fut l'objet de reconnaissance de son ancienne occupation. De son ancien poste. De son ancienne vie. Il posa son assiette à ses côtés, et passa sa main gauche sur le visage. Cet écusson était son seul souvenir de ce que fut sa vie avant. Le seul objet pouvant attester de ce qu'il avait vécu dans les temps récents. Et puis, l'inévitable. Il se remémora de ces moments qu'il avait passé. Des rencontres, des responsabilités, des bons moments, et les autres, ceux dont il pouvait grandement se passer. L'aventure lui manquait. Il avait ça dans le sang, tout comme son grand-père qui refusait de pourrir dans une hospice Bontarienne. Et puis, il était encore trop jeune pour que l'heure de la retraite sonne. Tout ceci l'envahit... Alors que le crocodaille, lui, se contentait de l'observer d'un air plutôt curieux. Le Iop releva la tête, et ferma les yeux, en tenant fermement son ancien insigne dans le creux de sa main droite.
- ...Mais qu'est-ce que je fais planter là, moi?
- ...Gna?... répondit un crocodaille un peu crédule.
Il regarda son compagnon de toujours, tout en fermant sa main sur l'écusson, avec un air plutôt déterminé, mais nostalgique. Il en avait vécu, des choses. Mais l'organisation pour laquelle il avait fait parti était désormais chose du passé avec lui. Et puis, elle désapprouverait, après tout ce qu'ils ont vécu ensemble... Un retour en arrière constitue t-il un pas en arrière également? Sans doute, se dit-il. Mais plus il y pensa, plus ce fut clair dans sa tête. Résolution prise, il hocha la tête lentement.
- Tirok?
- Gniak?
- Demain, tiens-toi prêt. Demain, je vais aller voir une amie... Tu sais, la Sadidette?
Le crocodaille hocha la tête, en trépignant d'enthousiasme. Voyant la réaction, l'homme ne put s'empêcher de lâcher un petit rire, et porta sa main vers la tête de son compagnon atypique, qui accueillit la main de bonne façon, se frottant le crâne contre la paume doucement en poussant un petit grognement satisfait.
- Elle pourra peut-être m'aider à trouver un nouvel écusson, qui sait? dit le Iop à la chevelure vermeille, qui toutefois, n'arrivait pas à oublier l'élément commun qui unissait à la fois le Iop, et la Sadidette.
Il ouvrit la main pour contempler son petit bout de souvenirs, d'une parcelle de sa vie bourrée de péripéties. Ses yeux se posa sur les lettres écarlates gravées sur le badge. Se fut ses lettres. Son nom.
C'était [font=book antiqua]Malagar Lagoras[/font] ...
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Alors c'est le temps de jouer à notre nouveau jeu : Taper le tonneau avec~
Ah, pardon, ce n'est pas l'endroit! Ahah, erm. je vous vois bien venir... ''Mais qui diable est ce type qui nous pond ce truc?''
Tout d'abord, pour rectifier le tir, je ne pond pas mais j'écris (huhu), pour votre plaisir, mais surtout le mien. Voyons, ne faites pas cette tête...!
Blague à part, dans la vie de tout les jours, je me prénomme Gabriel. Je sais, c'est joli (*arrête la pompe à cheville avant l'explosion*) mais passons. Je suis âgé de 19 ans, fêtant ma 20e année très, TRES bientôt, et je vis dans une ville paisible appelé La Plaine (...Erm), un secteur de Terrebonne (...Erm), dans la province du Québec au Canada! Donc, oui, je suis un Québécois comme il ne s'en fait plus. Presque parfaitement bilingue. Pour détailler un peu plus physiquement, je mesure environ 1,77 mètres, je pèse environ 61 kilogrammes, j'ai des yeux d'un vert très sombre et j'ai cheveux bruns généralement court. Je planifie actuellement un retour aux études, pour me diriger vers un domaine tirant plus de l'informatique ou du domaine scientifique. Processus dans lequel je dois encore attendre avant de pouvoir faire marche avant, bien évidemment (vive les listes d'attente, wahoo). Je joue à Dofus, et World of Warcraft quand la France dort (Enfin, plus depuis que mon ordinateur portable a soudainement disparu <,<). Je suis quelqu'un d'assez franc, honnête, et généreux de mon temps, qui a un penchant pour la rigolade bien grasse, bien que capable de me démontrer intelligent. Je suis précis dans ce que je fais. Je suis aussi quelqu'un de direct, qui n'hésite pas à mettre son grain de sel dans un soucis technique.
Mes passions sont la lecture, l'écriture, la boxe et le hockey. Bien entendu, les jeux vidéos sont une distraction que j'apprécie énormément. D'ailleurs, la première fois que j'ai touché une console, ce fut dès l'âge de mes quatre ans (enfin, surtout vers l'âge de 5 ans), avec le bon vieux NINTOASTER (ou le NES, correctement parlant) et Mario Bros. J'y ai consacré beaucoup de temps, d'ailleurs! Je dévore des romans, dans les types fantastiques et quelques romans policiers. Ma dernière lecture fut La Route (The Road), un livre que je recommande. Outre, je suis un fan de la musique Métal. Mais oh, pas n'importe lequel! Je me centre surtout sur Disturbed, ayant tout leur album sauf Believe (le premier), et j'apprécie grandement la musique d'Atreyu, Killswitch Engage, Metallica, Black Sabbath, Sonata Arctica. Tout ce qui est capable de me faire ressentir quelque chose. La musique aide énormément dans mon écriture, pour trouver l'inspiration pour mes textes. Et à ce propos, comme vous l'avez sûrement pu le remarquer à diverses occasions, je suis un spécialiste du pavé en matière de texte. Sinon, si on peut classer le Roleplay (Jeu de Rôle) dans les passions, j'y met volontier un accent. Je n'ai pas honte de le dire, je le dit ouvertement, j'en suis fier : Vive le ERPE, BARD- Pardon je m'emporte.
Je déteste... Les Bworks, et le SMS en général. Je ne suis absolument pas capable d'endurer très longtemps quelqu'un utilisant le S'messien comme langage, ceci étant une charcuterie pour mes pauvres yeux. Je déteste également les gens ayant le penchant facile pour lancer des couteaux dans le dos, me prendre pour un imbécile, et surtout ceux me manquant intégralement de respect sans avoir une raison particulière. Et j'ai tendance à défendre ma position assez solidement face à ces individus déplacés.
Pour ce qui est de Dofus, je possède exactement 3 personnages. Du plus utilisé, au moins utilisé.
- Malagar : Iop terre niveau 188, actuellement maître dans les métiers de pêcheur et poissonnier (Et dans les premiers du serveur), et bûcheron noube niveau 23.
- Engor : Enutrof Feu niveau 80-81, alchimiste (Niv. 67). RP parlant, c'est le grand-père de Malagar, et il possède un langage... particulier.
- Adalan : Pandawa Air niveau 55, chasseur niveau... 8 (Loule). Sert presque exclusivement à des fins de Roleplay, flemme de lui faire gagner des niveaux.
J'avais auparavant un Pandawa feu nommé Pandorok, mais il a été relégué à la corbeille. Le pauvre.
Pour faire une histoire courte, je suis passé par trois guildes bien exactement. Tout d'abord, en début de serveur, dans une guilde nommée Koosai Hana, en compagnie d'Arcfier, et de Papi-Nunu. C'est là que tout à commencer pour moi. Après quelques temps, j'ai été appelé à la fonction de Bras droit, et suite à l'abandon du meneur (sans passage de droit), j'ai décidé de fonder ma propre guilde : Fleur de Lotus. La guilde a connu un certain succès. Je basais avant tout mes règles sur le respect, l'entraide, et bien sûr la rigolade franche. Mais j'ai rapidement fait ma marque en temps que meneur juste, mais rigide. Cette guilde a tenu presque une année entière sous ma gouverne. Puis, attiré par la Milice Ecarlate, je reléguai mon poste, et décida de quitter l'aventure, pour me glisser dans l'aventure du Roleplay de Dofus.
Mon passage dans la Milice fut un de longue durée. Entre temps, en ayant des débuts très modestes, j'ai pu solidifié mes bases, et j'ai connu de bons moments avec la Milice. Entre Roleplay et délire, je m'y plaisais. Après une certaine période, je fus promu en tant que Patron (co-meneur) avec Chymes. J'y ai connu un régime en montagne russe, passant par toutes les épreuves inimaginables : La carence de Roleplay, jusqu'à l'inactivité total. Des gestions de dossiers difficiles, des contestations vive, des départs déchirants, et j'en passe. Certains en sont venu jusqu'à détester le personnage, et indirectement la personne derrière, créant son lot de problèmes (Je ne cite pas de nom. =/). Lassitude me prenant, une grande période plus tard, ce fut un gros moment d'inactivité IG. Ca s'inquiète, c'est frustrant. Après un moment de mêlées avec le Conseil, je remets ma démission, en espérant que la tempête IRL passe. Sans succès. Je me lasse encore plus, et un mois plus tard, ce fut la fin : Bannissement pour cause d'inactivité. Après ça, je découvre que mon personnage s'est fait piller (merci, Keylogger pourri), et ça l'a eut l'effet de planter un clou directement dans le cercueil. L'absence totale aura donc duré quelques semaines/mois.
Je suis retourné en jeu que très récemment, avec mon gros Iop bourrin tout vide, bien résolu à reprendre du bon pied.
Je connais Saga of Ryzom depuis déjà un moment. En fait, cela fait assez longtemps que je le connais, mais j'ai commencé à le connaitre particulièrement lorsqu'il y a eu la migration d'une certaine Stazya, Azariel, ainsi que de plusieurs autres membres de la Milice vers votre guilde. C'est un peu l'ironie qu'après tout ce beau monde, je sois le prochain à venir cogner à la porte. Certains d'entre eux ont quittés, et d'autres y sont toujours (D'ailleurs, coucou, j'espère que je ne vous ai pas trop manqué! x)). Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un oeil, découvrit quelques trucs, et même converser avec la plupart d'entre vous. Ce qui m'intéresse dans Saga, c'est surtout l'ouverture qu'ont les membres, le cadre de respect et d'entraide qui semble être la base même de l'organisation. Ca me rappelle surtout Fleur de Lotus, et la belle époque de la Milice, tout ça. Et c'est ce que j'ai toujours recherché. De plus, la rigolade, et l'activité, j'adore! Et puis, pourquoi moi plus qu'un autre, d'abord? Simple : Entraide, c'est presque mon nom de famille. Partout où je suis passé, je me suis toujours sacrifié pour le bon de mes confrères et consoeurs de guilde, et de mes amis. Comme mentionné plus haut, j'aime délirer. Bon, c'est certain... Je suis Québécois, mais on peut s'arranger à ce niveau! Si vous voulez un gars sympathique, généreux, et qui aime taper joyeusement sans poser de questions trop Iop, je suis votre gars! D'ailleurs, j'aurai l'honneur de venir bombardé de message les sujets du forum, étant particulièrement actif à ce niveau. Et bien sûr, pour l'amour du RP, je me ferai l'honneur de continuer mon travail déjà enclenché sur le sujet dédié à mon personnage.
J'espère que vous avez appréciez la lecture! \>3</
Un silence, et puis... Un regard, absent de toute caractéristique visuelle s'illumina dans la noirceur. Un gros claquement de mâchoire puissante résonna, laissant sous-entendre au pauvre petit Chacha qu'il était devenu lui-même une proie. Le Chacha recula lentement, en lançant un regard furtif de temps à autre vers le précieux butin. Ce qui se terrait derrière ce voile sinistre de noirceur n'était visiblement pas satisfait, et tout du suite, ce fut un rugissement foudroyant qui parvenu aux oreilles de la bête terrifiée. La vision d'une gueule béante acheva d'apeurer la pauvre bête, et le chacha détalla à toute vitesse. Dans son esprit simplet, plus jamais il n'approchera du port, cela était clair! Toutefois, d'entre les tonneaux, un petit crocodaille se glissa à l'extérieur de sa cachette, en bondissant sur ses grosses pattes arrières. Il bougeait sa queue écaillée à gauche et à droite, accompagnant non pas sans grâce ses petits mouvements de joie. Un claquement de mâchoire, et deux petits ''Gnap'' plus tard, ce fut une silhouette beaucoup plus prononcée qui apparu, se cabrant vers l'arrière pour voir ce qui se passait.
- On dirait que t'as bien défendu nos repas, toi... dit l'énorme silhouette, en riant légèrement.
- Gnaaaap! se contenta de répondre le crocodaille, visiblement joyeux comme pas deux.
- T'es un sacré compagnon, Tirok... Allez, rentrons, j'ai ce que nous avons.
Ce fut sur ces mots que l'homme imposant se leva de terre, ses pieds passant du vide à la pierre érodée, afin de saisir les précieux poissons et de les mettre dans un petit filet. Le petit crocodaille le regarda faire tranquillement, et suivit son maître avec enthousiasme vers une destination commune. La grand gaillard avait l'habitude de tout faire lui-même : s'habiller, cuisiner, exécuter les tâches relatives à la vie quotidienne. Mais qui put deviner que derrière cette stature d'indépendance, se trouvait en fait un vétéran, un homme en ayant mené d'autres plus qu'à son tour, et ce malgré son jeune âge. Il m'était plus tout à fait très jeune, mais il n'était pas très vieux également. Sa 27e année d'existence, tout de même. Qui put deviner que derrière les traits fins que la lune illuminait partiellement étaient si fins, alors qu'il avait mené plus d'un combat, et participer à plusieurs batailles? Les apparences sont toutefois trompeuses, l'ardeur ne faisant pas l'ouvrier. Et encore, c'était d'autant plus bizarre que cet homme, aussi imposant soit-il, est put se tailler une vie normale, après une vie passée dans la nuit. Là où les pensées inconnues le guettait. Mais pour lui, tout était si simple maintenant. Enfin, presque.
Il sentait les ombres le poursuivre dans le noir. Son ombre, comme celles des démons du passé qu'il s'abstenait de dévoiler. L'ombrage de tout ces pertes qu'il avait dû essuyer, de tout ceux qu'il avait vu mourir. Tout ça, alors qu'il était incapable de faire quoi que ce soit. Des amours, il en a vu passé. Trois, quatre relations sérieuses. Tous se finissant d'une façon insoupçonnée, son obsession, son regret si intense fut-il à ses yeux. L'ombre de la folie qui le menaçait à chaque instant. Alors qu'il aurait regardé derrière auparavant, il ne s'en souciait guère maintenant. Tout était derrière lui. Il avait accepté. Enfin. Ce fut un comble, après une si longue période passée dans l'obscurité. A supporter ces fantômes si agaçants les uns que les autres, plus terrifiant, plus sombre... Encore et encore. Il avait brûlé. Jusqu'à finalement être réduit en cendres, et s'être fait dispersé par le vent, afin de ne plus être vu, jamais. Mais tel un phénix, il s'est relevé de ses propres cendres. Changé. Indestructible. Sain. Il arriva à la porte de l'auberge dans laquelle il avait élu domicile. La faible lumière de la chandelle éclairant l'enseigne discrète chassa les ombres peu à peu. Un soupir, un rire... Il poussa la porte. Enfin.
Il salua l'aubergiste au passage, et se dirigea dans la cuisine avec ses sardines brillantes. Il avait insisté à maintes reprises auprès de l'aubergiste pour cuisiner lui-même ses repas. Un peu pour garder son indépendance culinaire. Car hormis être maître de sa cuisine, ainsi que ses actions et de son corps, il était devenu dépendant de ce logis temporaire, du moins, c'est ce qu'il espérait. Et cela, bien sûr, ça ne le ravissait pas. Mais il devait faire avec. Quelques épices, friture, et assaisonnements plus tard, il sortit de la cuisine avec un plat de poisson richement garni. Appétissant pour le faire pratiquement saliver, et rendre son curieux compagnon assez impatient. Mais il commençait à en avoir l'habitude. Tout simplement. Il prit la direction de sa chambre, ouvrit la porte, et y condamna l'accès. Il y avait un lit, une table équipée d'une chaise assez solide pour supporter la masse corporelle de l'homme, ainsi qu'une lampe bien classique. A côté de la table, il y avait un bol propre posé par terre. Probablement la gamelle de ce compagnon atypique qu'était ce Tirok. La salle en elle-même était plutôt petite, mais c'était suffisant pour ses moyens. Il posa l'assiette fumante sur la table, et sépara le tout en deux, avant de vider une moitié dans le bol en faisant bien attention. Ce ne fut pas très long avant que le crocodaille lui fasse encore une démonstration de sa voracité, et aille s'empiffrer. L'homme passa une main dans ses cheveux vermeils, tout en esquissant un petit sourire bienveillant, avant de prendre son assiette pour s'installer sur son lit.
En cherchant dans ses poches pour trouver sa fourchette, il cliqua des yeux, interloqué. Il avait mis sa main sur quelque chose qui n'avait vraisemblablement pas l'air d'un ustensile, du moins, il croyait. En sortant l'objet de sa poche, son demi-sourire disparut d'un seul coup. Un insigne, si familier à ses yeux, remplit de souvenirs. Nostalgie le prit, caressant du bon de ses doigts, lentement, ce qui fut l'objet de reconnaissance de son ancienne occupation. De son ancien poste. De son ancienne vie. Il posa son assiette à ses côtés, et passa sa main gauche sur le visage. Cet écusson était son seul souvenir de ce que fut sa vie avant. Le seul objet pouvant attester de ce qu'il avait vécu dans les temps récents. Et puis, l'inévitable. Il se remémora de ces moments qu'il avait passé. Des rencontres, des responsabilités, des bons moments, et les autres, ceux dont il pouvait grandement se passer. L'aventure lui manquait. Il avait ça dans le sang, tout comme son grand-père qui refusait de pourrir dans une hospice Bontarienne. Et puis, il était encore trop jeune pour que l'heure de la retraite sonne. Tout ceci l'envahit... Alors que le crocodaille, lui, se contentait de l'observer d'un air plutôt curieux. Le Iop releva la tête, et ferma les yeux, en tenant fermement son ancien insigne dans le creux de sa main droite.
- ...Mais qu'est-ce que je fais planter là, moi?
- ...Gna?... répondit un crocodaille un peu crédule.
Il regarda son compagnon de toujours, tout en fermant sa main sur l'écusson, avec un air plutôt déterminé, mais nostalgique. Il en avait vécu, des choses. Mais l'organisation pour laquelle il avait fait parti était désormais chose du passé avec lui. Et puis, elle désapprouverait, après tout ce qu'ils ont vécu ensemble... Un retour en arrière constitue t-il un pas en arrière également? Sans doute, se dit-il. Mais plus il y pensa, plus ce fut clair dans sa tête. Résolution prise, il hocha la tête lentement.
- Tirok?
- Gniak?
- Demain, tiens-toi prêt. Demain, je vais aller voir une amie... Tu sais, la Sadidette?
Le crocodaille hocha la tête, en trépignant d'enthousiasme. Voyant la réaction, l'homme ne put s'empêcher de lâcher un petit rire, et porta sa main vers la tête de son compagnon atypique, qui accueillit la main de bonne façon, se frottant le crâne contre la paume doucement en poussant un petit grognement satisfait.
- Elle pourra peut-être m'aider à trouver un nouvel écusson, qui sait? dit le Iop à la chevelure vermeille, qui toutefois, n'arrivait pas à oublier l'élément commun qui unissait à la fois le Iop, et la Sadidette.
Il ouvrit la main pour contempler son petit bout de souvenirs, d'une parcelle de sa vie bourrée de péripéties. Ses yeux se posa sur les lettres écarlates gravées sur le badge. Se fut ses lettres. Son nom.
C'était [font=book antiqua]Malagar Lagoras[/font] ...
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HRP TIEM§§
Alors c'est le temps de jouer à notre nouveau jeu : Taper le tonneau avec~
Ah, pardon, ce n'est pas l'endroit! Ahah, erm. je vous vois bien venir... ''Mais qui diable est ce type qui nous pond ce truc?''
Tout d'abord, pour rectifier le tir, je ne pond pas mais j'écris (huhu), pour votre plaisir, mais surtout le mien. Voyons, ne faites pas cette tête...!
Blague à part, dans la vie de tout les jours, je me prénomme Gabriel. Je sais, c'est joli (*arrête la pompe à cheville avant l'explosion*) mais passons. Je suis âgé de 19 ans, fêtant ma 20e année très, TRES bientôt, et je vis dans une ville paisible appelé La Plaine (...Erm), un secteur de Terrebonne (...Erm), dans la province du Québec au Canada! Donc, oui, je suis un Québécois comme il ne s'en fait plus. Presque parfaitement bilingue. Pour détailler un peu plus physiquement, je mesure environ 1,77 mètres, je pèse environ 61 kilogrammes, j'ai des yeux d'un vert très sombre et j'ai cheveux bruns généralement court. Je planifie actuellement un retour aux études, pour me diriger vers un domaine tirant plus de l'informatique ou du domaine scientifique. Processus dans lequel je dois encore attendre avant de pouvoir faire marche avant, bien évidemment (vive les listes d'attente, wahoo). Je joue à Dofus, et World of Warcraft quand la France dort (Enfin, plus depuis que mon ordinateur portable a soudainement disparu <,<). Je suis quelqu'un d'assez franc, honnête, et généreux de mon temps, qui a un penchant pour la rigolade bien grasse, bien que capable de me démontrer intelligent. Je suis précis dans ce que je fais. Je suis aussi quelqu'un de direct, qui n'hésite pas à mettre son grain de sel dans un soucis technique.
Mes passions sont la lecture, l'écriture, la boxe et le hockey. Bien entendu, les jeux vidéos sont une distraction que j'apprécie énormément. D'ailleurs, la première fois que j'ai touché une console, ce fut dès l'âge de mes quatre ans (enfin, surtout vers l'âge de 5 ans), avec le bon vieux NINTOASTER (ou le NES, correctement parlant) et Mario Bros. J'y ai consacré beaucoup de temps, d'ailleurs! Je dévore des romans, dans les types fantastiques et quelques romans policiers. Ma dernière lecture fut La Route (The Road), un livre que je recommande. Outre, je suis un fan de la musique Métal. Mais oh, pas n'importe lequel! Je me centre surtout sur Disturbed, ayant tout leur album sauf Believe (le premier), et j'apprécie grandement la musique d'Atreyu, Killswitch Engage, Metallica, Black Sabbath, Sonata Arctica. Tout ce qui est capable de me faire ressentir quelque chose. La musique aide énormément dans mon écriture, pour trouver l'inspiration pour mes textes. Et à ce propos, comme vous l'avez sûrement pu le remarquer à diverses occasions, je suis un spécialiste du pavé en matière de texte. Sinon, si on peut classer le Roleplay (Jeu de Rôle) dans les passions, j'y met volontier un accent. Je n'ai pas honte de le dire, je le dit ouvertement, j'en suis fier : Vive le ERPE, BARD- Pardon je m'emporte.
Je déteste... Les Bworks, et le SMS en général. Je ne suis absolument pas capable d'endurer très longtemps quelqu'un utilisant le S'messien comme langage, ceci étant une charcuterie pour mes pauvres yeux. Je déteste également les gens ayant le penchant facile pour lancer des couteaux dans le dos, me prendre pour un imbécile, et surtout ceux me manquant intégralement de respect sans avoir une raison particulière. Et j'ai tendance à défendre ma position assez solidement face à ces individus déplacés.
Pour ce qui est de Dofus, je possède exactement 3 personnages. Du plus utilisé, au moins utilisé.
- Malagar : Iop terre niveau 188, actuellement maître dans les métiers de pêcheur et poissonnier (Et dans les premiers du serveur), et bûcheron noube niveau 23.
- Engor : Enutrof Feu niveau 80-81, alchimiste (Niv. 67). RP parlant, c'est le grand-père de Malagar, et il possède un langage... particulier.
- Adalan : Pandawa Air niveau 55, chasseur niveau... 8 (Loule). Sert presque exclusivement à des fins de Roleplay, flemme de lui faire gagner des niveaux.
J'avais auparavant un Pandawa feu nommé Pandorok, mais il a été relégué à la corbeille. Le pauvre.
Pour faire une histoire courte, je suis passé par trois guildes bien exactement. Tout d'abord, en début de serveur, dans une guilde nommée Koosai Hana, en compagnie d'Arcfier, et de Papi-Nunu. C'est là que tout à commencer pour moi. Après quelques temps, j'ai été appelé à la fonction de Bras droit, et suite à l'abandon du meneur (sans passage de droit), j'ai décidé de fonder ma propre guilde : Fleur de Lotus. La guilde a connu un certain succès. Je basais avant tout mes règles sur le respect, l'entraide, et bien sûr la rigolade franche. Mais j'ai rapidement fait ma marque en temps que meneur juste, mais rigide. Cette guilde a tenu presque une année entière sous ma gouverne. Puis, attiré par la Milice Ecarlate, je reléguai mon poste, et décida de quitter l'aventure, pour me glisser dans l'aventure du Roleplay de Dofus.
Mon passage dans la Milice fut un de longue durée. Entre temps, en ayant des débuts très modestes, j'ai pu solidifié mes bases, et j'ai connu de bons moments avec la Milice. Entre Roleplay et délire, je m'y plaisais. Après une certaine période, je fus promu en tant que Patron (co-meneur) avec Chymes. J'y ai connu un régime en montagne russe, passant par toutes les épreuves inimaginables : La carence de Roleplay, jusqu'à l'inactivité total. Des gestions de dossiers difficiles, des contestations vive, des départs déchirants, et j'en passe. Certains en sont venu jusqu'à détester le personnage, et indirectement la personne derrière, créant son lot de problèmes (Je ne cite pas de nom. =/). Lassitude me prenant, une grande période plus tard, ce fut un gros moment d'inactivité IG. Ca s'inquiète, c'est frustrant. Après un moment de mêlées avec le Conseil, je remets ma démission, en espérant que la tempête IRL passe. Sans succès. Je me lasse encore plus, et un mois plus tard, ce fut la fin : Bannissement pour cause d'inactivité. Après ça, je découvre que mon personnage s'est fait piller (merci, Keylogger pourri), et ça l'a eut l'effet de planter un clou directement dans le cercueil. L'absence totale aura donc duré quelques semaines/mois.
Je suis retourné en jeu que très récemment, avec mon gros Iop bourrin tout vide, bien résolu à reprendre du bon pied.
Je connais Saga of Ryzom depuis déjà un moment. En fait, cela fait assez longtemps que je le connais, mais j'ai commencé à le connaitre particulièrement lorsqu'il y a eu la migration d'une certaine Stazya, Azariel, ainsi que de plusieurs autres membres de la Milice vers votre guilde. C'est un peu l'ironie qu'après tout ce beau monde, je sois le prochain à venir cogner à la porte. Certains d'entre eux ont quittés, et d'autres y sont toujours (D'ailleurs, coucou, j'espère que je ne vous ai pas trop manqué! x)). Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un oeil, découvrit quelques trucs, et même converser avec la plupart d'entre vous. Ce qui m'intéresse dans Saga, c'est surtout l'ouverture qu'ont les membres, le cadre de respect et d'entraide qui semble être la base même de l'organisation. Ca me rappelle surtout Fleur de Lotus, et la belle époque de la Milice, tout ça. Et c'est ce que j'ai toujours recherché. De plus, la rigolade, et l'activité, j'adore! Et puis, pourquoi moi plus qu'un autre, d'abord? Simple : Entraide, c'est presque mon nom de famille. Partout où je suis passé, je me suis toujours sacrifié pour le bon de mes confrères et consoeurs de guilde, et de mes amis. Comme mentionné plus haut, j'aime délirer. Bon, c'est certain... Je suis Québécois, mais on peut s'arranger à ce niveau! Si vous voulez un gars sympathique, généreux, et qui aime taper joyeusement sans poser de questions trop Iop, je suis votre gars! D'ailleurs, j'aurai l'honneur de venir bombardé de message les sujets du forum, étant particulièrement actif à ce niveau. Et bien sûr, pour l'amour du RP, je me ferai l'honneur de continuer mon travail déjà enclenché sur le sujet dédié à mon personnage.
J'espère que vous avez appréciez la lecture! \>3</
