Si vous ne m'en voulez pas je commencerai par mon parcours personnel. J'ai commencé sur le serveur Silouate il y'a de ca environ 3 ans un jeune osamodas de cercle 120 et quelques, vite oublié et aucun interet d'en parler^^. Au bout d'un an et demi certains de mes amis de silouate avons décider de créer la team serial destiné au serveur kuri, je vous passe les détails de notre parcours le principal à retenir est que j'ai été le meneur lors de la grande époque Serial Legend et que désormais l'équipe et démanteler et en froid, suite a des hacks dont je vous passerai les détails. Bref, je suis revenu sur kuri aprés 4 mois d'absence je me réequipe doucement doucement, je connaissais dja votre guilde par le passé, je m'entendais plutot bien avec certains membres. Puis aprés avoir fait un séjour déplaisant chez quarter general j'avais décidé de rester sans guilde lorsque Tahoo, mon grand ami, m'a dis que mes attentes correspondaient à l'état de votre guilde, à savoir le respect de notre belle langue (un minimum tout au moins), des personnes respectueuses et matures, et une bonne entente entre les membres.

Voila pour ma présentation j'espère qu'elles vous aura convaincu, j'ai préparé un petit RP un peu présomptueux j'espère qu'il vous plaira http://sagaofryzom.osyra.net/forum/images/smileys/happy.gif.

Voici le récit de l'un des plus valeureux osamodas que notre monde ait connu, récit qui nous a été légué par le Dieu Osamodas lui-même.

C'est en l'an 638 que le Monde des Douzes célébra deux événement. Le premier, dans le monde des hommes ceux-ci fêtèrent la découverte d'un Nouveau Monde, qu'ils nommèrent Kuri en hommage à la célèbre prêtresse de l'amour en espérant que ce dernier inspirerait sa politique de son aieul. Au même moment le fils du Dieu Osamodas, Sadomaso (=> Sado), fêtait son 22ème siècle, il attendait le moment, où enfin en age de pouvoir partir à l'aventure, son père lui donnerait sa bénédiction et le laisserait s'en aller.
Sado, enfin majeur, se préparait à partir avec la team Serial qu'il avait crée avec quelques amis quand du haut de son nuage lui vint aux oreilles les cris des hommes fêtant la découverte des plaines kuryennes.

« Une nouvelle contrée ? Qu'espérer de mieux !? Il ne me reste plus qu'a me hâter et devenir le maître de cette contrée. »

Armé de son fouet ainsi que de son ego sans égal, Sado descendit dans le Monde des Douzes et partit à l'aventure, contrairement a ce qu'il pensait Sado rencontra plus de bwork que d'humains, en tout cas au vue de leur langage, misant tout sur son intelligence hors du commun il enchaîna les cercles rapidement, au cours de ses péripéties il rencontra une sramette qui se disait la fille de Mars, (qui c'est c'lui la :p ?) Murderer (=> Murd) et s'en épris, ensemble il formait un duo imbattable et personne ne contestait leur suprématie sur ces contrées.
Sado fut reconnu par ses pairs comme le Dieu Fouettard lorsqu'il acquit l'expérience de son cercle 199, il était le premier Osamodas de ces contrées à l'être...
Ce titre lui avait été donné à cause de ce qu'il appelait « sa marque de fabrique », sa prétention sans égale lui avait fait dire « Tout ceux qui ne sont pas dignes de m'affronter se verront fouetter avant d'être châtié », aucun humain s'opposant à lui ne se vit être épargné de son terrible fouet juste avant de recevoir le coup de grâce.

Sado était fêtard cependant il avais un gros défaut, il ne connaissait pas ces limites... et lors d'une beuverie à la taverne d'Asturb, il était dans un tel état qu'il passa la nuit allongé sur la table de la taverne, et lorsqu'il se réveilla il se vit déposséder de tout ces bien.

Dans un élan de dépit il se réfugia chez son père, jurant de revenir 1000ans plus tard pour finir ce qu'il n'avait pu achever et hanter les descendants des malandrins qui l'avaient dépouillés (Hrp : 4mois^^), il demande à son oncle Xelor d'arrêter le temps et de ne le réveiller que dans 1000ans.

Lorsqu'il se réveilla beaucoup de choses avaient changé, les dieux capitulant face a la suprématie bwork développés en Kuri, beaucoup d'anciens héros avait sombré dans l'oubli... mais une chose demeurerait, son désir d'être sans égal.

To be continued